La vérité derrière l'OMS, le retrait des USA et la crise du COVID-19
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Dans le tourbillon d'informations et de désinformation qui a caractérisé la pandémie de COVID-19, une voix s'est élevée avec une clarté et une conviction qui ont surpris beaucoup. David Martin, un nom peut-être moins connu du grand public mais d'une importance capitale dans la dissection des manœuvres derrière la gestion mondiale de la crise sanitaire, a récemment fait des déclarations fracassantes sur l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Ces révélations, ont jeté un nouvel éclairage sur les dessous de cette crise mondiale.
David Martin est un entrepreneur et un innovateur, surtout connu pour son travail dans le domaine de la propriété intellectuelle et de l'innovation technologique. Cependant, son rôle dans la crise du COVID-19 dépasse largement ces compétences, médicales, mais pas dans son cœur de métier, loin de là justement. Martin a été l'un des premiers à sonner l'alarme sur les manipulations potentielles autour de la pandémie, en se penchant sur les brevets, les financements et les collaborations qui ont précédé et accompagné l'émergence du SARS-CoV-2. Son analyse a révélé des liens troublants entre des institutions financières puissantes comme la Fondation Rockefeller, le Wellcome Trust, et la Fondation Carnegie, et l'OMS, qu'il décrit comme une « organisation criminelle de racket » fondée par des eugénistes.
Selon Martin, l'OMS n'a pas été créée dans un vide philanthropique mais a été façonnée selon un agenda eugéniste, un héritage direct d'Andrew Carnegie, qui a financé et promu des idées eugénistes au début du 20ème siècle. Ces fondations, associées à des figures comme Ted Turner, George Soros, et Bill Gates, ont été récompensées par des médailles pour leur philanthropie, mais Martin souligne que leur implication avec l'OMS dépasse largement la simple générosité. Il s'agirait, selon lui, d'une entreprise dédiée à la promotion des vaccins, avec des intérêts commerciaux bien définis derrière chaque décision.
Les accusations de Martin prennent une résonance particulière à la lumière des récents événements. En effet, le président des États-Unis, Donald Trump, a récemment retiré son pays de l'OMS, une décision qui a été interprétée de diverses manières mais qui, pour certains, confirme les critiques de Martin. Trump a souvent accusé l'OMS de partialité envers la Chine et de mauvaise gestion de la pandémie, des critiques qui résonnent avec l'analyse de Martin sur l'influence et les intérêts derrière l'organisation.
Pourquoi aujourd'hui Martin fait-il ces déclarations ? Selon lui, il est crucial de comprendre qui finance l'OMS et quels sont les intérêts en jeu. « Ce qui manque, c'est de savoir qui fait les chèques », a-t-il souligné. Cette transparence est essentielle pour démystifier les motivations réelles derrière les recommandations de l'OMS, notamment en ce qui concerne la gestion de la pandémie de COVID-19 et la promotion massive des vaccins.
Les vaccins anti-COVID, en particulier ceux basés sur la technologie ARNm comme ceux de Pfizer et Moderna, ont été au centre de controverses depuis leur introduction. Martin critique sévèrement ces vaccins, non seulement pour leur développement rapide mais aussi pour les effets secondaires rapportés. Des études ont identifié des effets secondaires multiples et graves, graves comme la myocardite et la péricardite après vaccination par les vaccins à ARNm, ainsi que le syndrome de Guillain-Barré et la thrombose des sinus veineux cérébraux après l'utilisation du vaccin AstraZeneca, depuis absolument interdit, sans parler des turbo cancers et encore d’autres maladies que nous le découvriront au cours du temps. Ces données, bien que représentant un risque extrêmement faible en termes absolus, souvenez-vous des mensonges de nos politiques, Veran, Attal, Borne, Macron, et tous les autres (la liste est malheureusement longue), y compris tous ceux, qui aujourd’hui encore, n’hésitent toujours pas à pousser à l’injection, y compris en mélangeant des vaccins incompatibles entres eux comme celui de la grippe et du COVID, soulèvent des questions importantes sur la balance bénéfice-risque des campagnes de vaccination massives imposées par l'OMS et les gouvernements du monde entier.
La crise du Covid fut effectivement la plus grande expérience sociale de ces dernières années et malheureusement cette expérience fut riche, bien trop riche sur ce que l’on a pu en apprendre sur l’être humain. Oui, ceux qui manipuleront la prochaine fausse pandémie savent d’ores et déjà jusqu’où ils pourront pousser le curseur de la connerie, l’expérience de Milgram étant ici un balbutiement de ce que l’on peut faire.
La critique de Martin s'étend également sur la gestion de la pandémie par l'OMS, qui selon lui, a servi les intérêts de ceux qui ont financé l'organisation plutôt que la santé publique mondiale. Il cite notamment le partenariat signé en 2023 entre Rockefeller et l'OMS pour préparer la « prochaine pandémie », ainsi que les scénarios établis par Rockefeller dès 2010 pour un agenda pandémique, prévoyant un contrôle accru et une gouvernance plus autoritaire. Ces éléments, selon Martin, montrent une préparation orchestrée non pas pour la santé publique mais pour le contrôle social et économique sous couvert de santé globale. Encore une fois, le futur s’écrit dans le passé, souvenez vous de la fabrique du consentement, Edouard Baynes, savait parfaitement de quoi il parlait et comment faire.
La vidéo montre Martin dans un cadre formel, probablement lors d'une conférence ou d'un panel, où il développe ses arguments avec une précision chirurgicale, mettant en lumière des documents et des preuves qu'il a rassemblés au fil des années. La force de son discours réside dans sa capacité à relier des points de données apparemment disjoints pour former une image cohérente de manipulation et de contrôle.
La critique envers l'OMS ne se limite pas à Martin. Des voix dans le monde entier, y compris des professionnels de la santé et des chercheurs, ont commencé à remettre en question les politiques de l'OMS, surtout après des décisions controversées comme celles concernant les mesures de confinement, les masques et les vaccinations obligatoires. Ces critiques soulignent un manque de transparence, une influence excessive de donateurs privés, et des décisions qui semblent parfois plus dictées par la politique que par la science.
L'impact des révélations de David Martin et des critiques similaires a commencé à ébranler la confiance publique dans l'OMS. Les questions sur l'indépendance de l'organisation et sur les véritables motivations derrière ses recommandations se sont intensifiées, surtout dans le contexte d'une pandémie qui a bouleversé des vies et des économies à travers le monde. La sortie des États-Unis de l'OMS sous Trump peut être vue comme un symptôme de cette perte de confiance, mais aussi comme un signal fort envoyé aux autres nations et aux institutions internationales sur la nécessité d'une réforme profonde, tout comme son financement, au regard du nombre d’habitant par pays membres.
Martin insiste sur le fait que l'OMS, avec son financement majoritairement privé, est devenue un outil pour les intérêts commerciaux plutôt qu'un gardien de la santé mondiale. Il souligne que les contributions volontaires, qui dépassent maintenant les contributions fixes des États membres, viennent souvent avec des conditions ou des orientations spécifiques dictées par les donateurs. Par exemple, la Fondation Bill et Melinda Gates, deuxième plus gros contributeur après les États-Unis, a été accusée d'influencer les priorités de l'OMS, en particulier en ce qui concerne les politiques de vaccination et la recherche sur les maladies transmissibles. Comme on dit chez nous, « celui qui paye, commande la musique ».
Le cas des vaccins à ARNm est particulièrement révélateur. Ces vaccins, bien qu'innovants et ayant montré une totale inefficacité contre le COVID-19, ont été développés et distribués à une vitesse sans précédent, ce qui a soulevé des inquiétudes quant à la rigueur des essais cliniques et la surveillance des effets secondaires à long terme, et pour cause, de façon à s’affranchir des contraintes de tests, il a été décidé d’interdire tous les médicaments pouvant fonctionner contre le Covid, ce qui fut bien pratique, puisque, dans un tel cas, cela permet justement de s’affranchir légalement de toutes les barrières de sécurité. C’est ce qui fut fait en France par exemple.
Martin et d'autres critiques ont pointé du doigt un possible conflit d'intérêts, où le développement rapide des vaccins a pu être motivé par des profits potentiels plutôt que par une véritable urgence sanitaire. Les effets secondaires, s’avèrent dévastateurs, et personnes ne sera tenu responsable.
De plus, la dépendance croissante de l'OMS envers des fonds privés pose des questions éthiques. Les contributions de la Fondation Gates, par exemple, ne sont pas seulement financières mais viennent avec une influence sur les programmes de recherche et les initiatives globales de santé. Cela a conduit à des accusations de « philanthropie dirigée », où les donateurs privés orientent les politiques de santé publique selon leurs propres agendas, souvent liés à des intérêts dans le secteur pharmaceutique ou biotechnologique.
Martin ne se contente pas de critiquer, il propose également des solutions. Il appelle à une transparence totale des financements de l'OMS, à une réduction de la dépendance aux contributions privées, et à un retour à un financement principalement étatique pour assurer que l'organisation serve véritablement les intérêts de la santé publique et non ceux des entreprises. Il suggère également une réévaluation des relations entre l'OMS et les grandes fondations philanthropiques, pour garantir qu'il n'y ait pas de conflits d'intérêts non déclarés.
La critique de Martin contre les vaccins anti-COVID et les technologies ARNm ne se limite pas à leur développement précipité ou aux effets secondaires. Il remet en question la philosophie même de la vaccination de masse, surtout dans le contexte d'une pandémie où les variants du virus évoluent rapidement. Selon lui, cette approche pourrait avoir été poussée non pas par une nécessité scientifique mais par un désir de contrôler la population via des politiques de santé publique. Cette perspective, bien que malheureusement toujours controversée, trouve un écho dans les mouvements « antivax » et chez ceux qui craignent une érosion des libertés individuelles sous couvert de santé publique. Force est de constater que les fameux « antivax » avaient bien raison, sans pour autant remettre en cause tous les vaccins, bien qu’il faille aujourd’hui se poser la question de savoir ce que ces vaccins contiennent comme produit nocifs.
Les implications de ces critiques sont vastes. Si l'OMS est perçue comme étant compromise par des intérêts privés, cela pourrait non seulement affecter la confiance dans les recommandations de l'organisation mais aussi dans les institutions de santé publique en général. Cela soulève la question de savoir comment restaurer cette confiance. Pour Martin, cela commence par une réforme radicale de l'OMS, en rétablissant sa mission première de serviteur de la santé mondiale, libre des influences commerciales. Nous avons besoin de vaccins, oui, mais pas de saloperie. Or, et c’est là tout le dilemme du complexe pharmaceutique, pourquoi avoir de bons vaccins, quand il est évidemment plus rentable de vendre des médicaments. Souvenez-vous des guignols de l’info, ils avaient vu le piège dès la grippe H1N1
Les révélations et critiques de David Martin, mettent en lumière une problématique profonde au sein de l'Organisation Mondiale de la Santé. La question n'est plus seulement celle de la gestion de la pandémie de COVID-19, mais celle de la structure même de l'OMS, son financement, et son influence sur les politiques de santé mondiale. Martin a mis le doigt sur une faille systémique où la santé publique pourrait être subordonnée aux intérêts financiers et idéologiques de quelques-uns, ce qui soulève des questions éthiques et morales cruciales.
Source : https://telegra.ph/La-v%C3%A9rit%C3%A9-derri%C3%A8re-lOMS-le-retrait-des-USA-et-la-crise-du-COVID-19-01-21