Le visage du fascisme selon Françoise GIROUD.

     

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    Ainsi commence le fascisme.
    Il ne dit jamais son nom, il rampe, il flotte, quand il montre le bout de son nez, on dit : C'est lui ?
    Vous croyez ?
    Il ne faut rien exagérer !
    Et puis un jour on le prend dans la gueule et il est trop tard pour l'expulser.
    • Gais-z-et-contents, Françoise Giroud, éd. Éditions du Seuil, 1997  (ISBN 2-020-31608-0), p. 217

     

     Finalement, il ressemble à tout le monde... 


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