Ils ne sont pas les candidats de Bruxelles

Ils ne sont pas au pouvoir depuis 40 ans.

Ils ne sont pas les candidats choisis par Davos, Bilderberg, la Trilatérale, la Banque centrale Européenne, Vanguard, BlackRock, la City ou Wall Street.

Aucun des trois n'a préféré le drapeau bleu à 12 étoiles jaunes au drapeau tricolore dans ses meetings…

Ils se sont opposées aux folies les plus graves de Macron-McKinsey dans la crise sanitaire.

Ils ne vous proposent pas d’être réduits à un QR-Code en liberté surveillée

Ils ne relaient pas sans discernement la propagande folle de l’OTAN sur la guerre en Ukraine.

Ils préfèrent que les décisions soient prises par le peuple français plutôt que par la Commission de Bruxelles et Joe Biden, assistés par McKinsey et ses pareils.

Si deux d’entre eux sont au second tour, Macron sera battu dès ce dimanche, ce sera une victoire pour les Français, contre les forces puissantes qui veulent détruire les Nations pour construire une « société liquide » dans laquelle chacun sera isolé face à d’immenses conglomérats mondialisés.

C’est vers eux que les votes doivent se tourner pour faire face à l’urgence de l’entrée progressive dans un monde technologique totalitaire, que représentent les projets des patrons de Macron.

C’est ce projet totalitaire du XXIe siècle qui est le danger, et pas les rabâchages permanents des peurs de revivre les drames du XXe siècle, qui sont dans le rétroviseur et ne reviendront pas à l’identique, mais servent à vous asservir, comme une peur de plus.

Selon votre Histoire et vos préférences vous avez le choix, mais seuls ces trois candidats permettent de voter contre Macron, dans ce référendum sur la disparition de ce qui a été construit en 1945 par le pacte social passé alors entre les forces, si diverses, qui avaient résisté.

J'ai, avec chacun de ces trois candidats, de très grandes divergences politiques. Sur des sujets importants. Mais, dans ce référendum, il faut voir où se situent les questions décisives et où se situent les questions subsidiaires.

Je n'hésiterai à voter pour aucun des trois, si au second tour il se trouve en face d'Emmanuel Macron. Car voter blanc, nul ou s'abstenir, ce sera alors choisir Macron.

Engagé à gauche depuis ma jeunesse, en ce premier tour, je voterai naturellement pour Jean-Luc Mélenchon.

Gilles CASANOVA